La Main de Leïla est une histoire d’amour touchante qui nous emporte dans l’Algérie des années 80 en interrogeant la force des sentiments.
1987, Sidi Fares, un petit village proche d’Alger. Dans un garage secrètement transformé en salle de spectacle, Samir rejoue les plus grands baisers du cinéma que l’Etat censure.
« Un dinar la place et bienvenue au Haram Cinéma, le cinéma le plus illégal de toute l’Algérie ! ». Ici, il y a deux règles à respecter : l’identité de Samir doit rester secrète et les femmes sont interdites.
Un jour, Leïla, la fille du puissant colonel Bensaada, se glisse dans le public et découvre la mythique histoire de Casablanca... Un an plus tard, Samir et Leïla s’aiment d’un amour inconditionnel mais interdit... Ils rêvent à un avenir commun tandis que derrière eux, se trame l’ombre d’octobre 88... Un vent de fronde et d’espoir se lève sur l’Algérie, comme le bourgeon d’un printemps arabe.
« La Main de Leïla est truffée d’images sensorielles qui ouvrent un champ infini d’interprétation au spectateur. On vibre, on garde espoir, on pleure même. Sans doute l’émotion de voir un théâtre si chargé de forces d’évocation et d’utopie. Immanquable ! » Le Point
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